Neuroprotection

Des études en culture cellulaire et sur animaux montrent que les composés actifs (erinacines, hericenones) stimulent la synthèse du nerve growth factor (NGF) et le BDNF, protégeant ainsi les neurones du stress oxydatif, de l’inflammation et favorisant la neurogénèse. Cela confère une réelle capacité de neuroprotection. (source)

Une étude sur cultures neuronales a démontré une activation significative de voies neurotrophiques. (source)

Mémoire & Concentration

Un essai clinique japonais double aveugle a montré qu’un apport quotidien de 3 g d’extrait de Lion’s Mane pendant 16 semaines améliore significativement les performances cognitives chez des personnes de 50 à 80 ans, avec un effet visible dès 8 semaines. Cet effet s’atténuait 4 semaines après l’arrêt du traitement. (source)

Des participants en bonne santé (18‑45 ans) ont également montré une amélioration rapide de la vitesse de réaction à la tâche Stroop après une dose unique et une tendance à une réduction du stress après 28 jours de supplémentation à 1,8 g/jour. (source)

Humeur

Dans une étude randomisée, 30 femmes ménopausées ayant pris 4×500 mg/jour pendant 4 semaines ont vu une réduction significative des symptômes de stress, d’anxiété et de dépression par rapport au placebo. (source)

Une revue scientifique de 2024 confirme des effets positifs sur l’humeur et la cognition chez les adultes d’âge moyen, bien que les preuves soient encore limitées. (source)

Vitalité cognitive

Une étude sur 41 adultes sains a montré qu’une prise de 1,8 g de Lion’s Mane améliore la performance cognitive sur une tâche d’attention (Stroop test) à 60 minutes, et tendait à réduire le stress perçu après 28 jours. (source)

Énergie

Des extraits deCordyceps sinensis(Cs‑4®, 333 mg × 3/jour pendant 12 semaines) ont permis d’augmenter le seuil métaboliquede 10,5 % et le seuil ventilatoirede 8,5 % chez des personnes âgées en bonne santé (50‑75 ans) — des marqueurs d’une meilleure utilisation de l’oxygène et donc d’une endurance accrue. (source)

Performance

Un essai chez des athlètes d’endurance (coureurs longue distance) soumis à un apport en extrait de Cordyceps militarissur 16 semaines a montré :

• une préservation des marqueurs de réserve en fer (ferritine, hémoglobine, hématocrite),
• une réduction significative de la créatine kinase, marqueur de lésions musculaires après entraînement intense.
  Cela suggère une meilleure tolérance à l’effort et une performance musculaire optimale. (source)

Récupération

Une étude randomisée, croisée, en double aveugle chez 14 adultes a démontré qu’une prise de 1 g de Cordyceps sinensis avant exercice intensif :

• accélère de 51 % le recrutement des cellules souches CD34+ (précurseurs de régénération musculaire) juste 3 h après l’effort,
• favorise une expansion 4× plus importante des cellules Pax7+ (satellite cells) à 24 h,
• contribue à une résolution plus rapide des dommages musculaires induits par l’intensité haute (HIIE). (source)

Antioxydant

• Une étude clinique a montré que des extraits de chaga réduisent significativement les dommages à l’ADN causés par le peroxyde d’hydrogène dans des lymphocytes humains (sains ou atteints de maladies inflammatoires de l’intestin), avec des résultats statistiquement significatifs. (source)

• Des polysaccharides et polyphénols de chaga ont également été identifiés pour leur capacité à neutraliser les radicaux libres et à diminuer le stress oxydatif in vivo, dans des modèles animaux comme le poisson zèbre : ils réduisent les ROS et freinent l’apoptose cellulaire. (source)

Immunité

• Les polysaccharides bêta‑glucanes présents dans le chaga stimulent l’activité des cellules immunitaires (comme les leucocytes), améliorant la défense contre virus, bactéries ou parasites. (source)

• Selon une revue récente de la littérature, le chaga possède des propriétés immunomodulatrices bien documentées, en complément de ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et antidiabétiques. (source)

Anti‑inflammatoire

• Des études in vitro sur des cellules RAW 264.7 stimulées par LPS (lipopolysaccharide) montrent que plusieurs extraits de chaga réduisent la production de cytokines inflammatoires et marquent une nette activité anti-inflammatoire. (source)

• Le chaga est également connu pour ses composés triterpénoïdes, reconnus pour leur capacité à moduler les voies inflammatoires et limiter les processus chroniques liés à l’inflammation. (source)

Digestion

• Traditionnellement utilisé pour soulager les troubles gastro-intestinaux (gastrites, ulcères, infections digestives), le chaga est reconnu comme un aliment fonctionnel qui soutient la digestion depuis des siècles. (source)

• Des recherches récentes suggèrent que le chaga peut agir comme prébiotique, favorisant la croissance d’une flore intestinale bénéfique et contribuant à un microbiote digestif sain. (source)